Occupant illégalement le Haut-Karabagh, l’Arménie s’est rendu coupable de la destruction organisée et répétée de monuments historiques et culturels azéris de première importance tout en mentant parallèlement sur les dégâts matériels supposés que le pays aurait comptabilisé.
Les chiffres publiés récemment par l’Agence des Droits d’Auteur de la République d’Azerbaïdjan sur le nombre de monuments détruits par l’Arménie dans le conflit du Haut-Karabagh ont de quoi donner le tournis : 13 monuments d’importance mondiale, 292 monuments de portée nationale et 330 monuments régionaux ont été détruits par les tirs de l’armée arménienne depuis le début du conflit.
Parmi les plus grandes pertes à déplorer côté Azerbaïdjan se trouvent plus de 80 cimetières, 10 mosquées pillées, 22 musées comprenant plus de 40 000 pièces d’art historiques et plusieurs dizaines de bibliothèques.
Des chiffres qui prouvent que le conflit va au-delà de la ligne de front entre forces armées et impacte des lieux culturels, historiques et saints de la culture azérie.
En parallèle, l’Arménie a tenté de s’approprier la danse nationale azérie, « Kocheri », en la présentant à l’Unesco pour qu’elle soit inscrite au Patrimoine mondial comme une tradition arménienne. Après l’occupation illégale du Haut-Karabagh, l’Arménie tente à présent de s’approprier des pans de la culture azérie. Pour autant, les recherches menées par l’Agence des Droits d’Auteur d’Azerbaïdjan ont permis de rétablir la vérité et de prouver que les allégations de l’Arménie sont sans fondement.
