Le média spécialisé Neftegaz.RU a publié sur son site Internet une analyse comparative des systèmes de transport de gaz des pays de l’ex-Union soviétique. Les experts sont arrivés à la conclusion que la dynamique de développement de l’industrie du gaz kazakhe est la plus importante.
La mise à niveau la plus complète
Comme indiqué dans cette publication, de vastes gisements de gaz sont exploités sur le vaste territoire de l’ensemble de l’ancienne Union soviétique.
Après l’effondrement de l’URSS, les anciennes républiques soviétiques ont dû développer indépendamment des systèmes de transport de gaz (GTS).
L’article note que tous les pays ne parviennent pas à faire fonctionner ce domaine avec le même succès. Il y a de nombreuses raisons à cela : problèmes internes, manque de financement, concurrence trop forte sur les marchés étrangers, manque d’infrastructures orientées vers l’exportation.
Des experts ont ainsi évalué le potentiel des systèmes de transport de gaz d’États comme le Tadjikistan, l’Azerbaïdjan, l’Arménie, l’Ukraine et la Moldavie. En comparant les GTS, les spécialistes ont pris en compte le degré de détérioration des gazoducs, la modernisation réalisée et leurs propres projets gaziers.
Selon les analystes russes, une stabilité et une dynamique positive sur une longue période ne sont observées qu’au Kazakhstan. C’est au Kazakhstan que l’industrie gazière a subi la « mise à niveau » la plus complète et que le plus grand nombre de projets gaziers ont été mis en œuvre.